Donner vie à l'intelligence culturelle
Intervention graphique et évènementielle
« La création est la plus belle arme citoyenne en notre possession. Elle est excitante et constructive. Arch-Street Art est un projet collaboratif inédit né de nos convictions, nos engagements divers et nos expériences plurielles. La peinture de la façade du 44 avenue Thiers à Bordeaux et l’évènement qui l’a accompagné en novembre 2018 sont les premiers d’une série à cultiver. D’une rencontre de personnalités, nous avons généré une interpellation générale, ouverte et indispensable aux changements dont notre société a viscéralement et vitale-ment besoin.
L’idée est de faire vivre ou revivre un lieu, réveiller des murs, secouer les endormis, bouleverser les esprits, remuer la créativité en utilisant la richesse d’une équipe pluri-disciplinaire : artiste-peintre, architectes-artistes et ingénieur-producteur. Au-delà d’un travail plastique, il s’agit d’inventer à chaque fois un événement accompagnateur marquant, inédit et sur-mesure porteur des mêmes messages et valeurs.
L’intelligence collective est le meilleur outil pour faire bouger les lignes, quel que soit le sujet. L’équipe que nous avons créée ici est un ovni porteur d’émotions et efficace. La fulgurance de sa première opération nous a poussé à l’officialiser. Pour le meilleur, et pour le rêve ».
Laurence Haxaire, LHécho Production
Novembre 2018
Crédit photo Laurence Haxaire.
Arch Street art
« L’idée est d’interpeler le passant pour qu’il s’arrête, se questionne avec nous, qu’il puisse se balader dans nos idées. Ce projet rend nos pensées, notre matière grise, notre intellect, accessibles. On pourrait faire des choses comme ça un peu partout. Il faudrait se saisir de telles occasions pour amener la réflexion à un niveau supérieur, pousser les gens à s’interroger, rassembler les énergies autour d’un imaginaire, d’un fantastique qui doit pouvoir émerger de chacun. La préparation de cet événement a été comme une grande respiration où l’on a débattu de qualité, d’éthique, d’engagement, de respect sociétal, et de tellement d’autres choses…»
Benjamin Bocquet, Architecte en mouvement, gérant de l’Atelier MAB